Même avec un endpoint WS2P valide j’observe moi aussi quelques désynchro plus fréquentes qu’avant, même si ça reste léger, je vois que @vit aussi s’est désynchro depuis qu’il a maj sur oxyde-pow.
peut-être, mais j’ai l’impression que ce n’est pas ça.
J’observe aussi un ralentissement de BMA qui persiste, mais hélas je ne sais pas du tout pourquoi, je n’ai pas touché au code de BMA, @cgeek une idée peut-être ?
J’ai pensé que cela venait du fuzzer de @matograine, mais j’ai reswitcher sur la branche dev et le ralentissement de BMA est bien plus faible, même après plusieurs heures. Et j’observe également un ralentissement de BMA sur mon nœud G1, plus léger que sur mon nœud gtest, donc il est certain que le fuzzer de @matograine à une part de responsabilité mais il n’explique pas tout.
Ok je pense que je vais changer de stratégie, la pow dépend d’autres process (code de génération du bloc donc mempool donc DAL et aussi code de validation d’un bloc utilisé en partie dans la génération) qui eux ne sont pas oxydés, ce qui semble causer des effets de bords bizarres (dé-synchros, ralentissements de BMA).
Je crois qu’il faut que j’oxyde en partant des briques les plus “basses” (celles qui ne dépendant pas des autres), puis que je remonte petit à petit en me basant à chaque fois sur les briques déjà précédemment oxydées.
L’oxydation de wotb et de la crypto est conforme à cette approche, ces briques ne dépendent pas de briques en nodejs.
Je vais laisser la pow de côté, le code Rust que j’ai écris pour n’est pas perdu, mais je l’intégrerai bien plus tard, quand il pourra être intégré en ne se basant que sur du code Rust, ce qui implique d’abord l’oxydation de la couche DAL, et du code de génération d’un bloc (qui dépend lui-même de nombreuses autres briques).
Je me rends compte en y réfléchissant que la pow est assez haute dans “l’arbre des dépendances entre les différentes briques”.
J’emploie ici le terme “brique” pour désigner un morceau de code, ce terme ne me convient pas trop, mais je n’ai pas trouvé mieux.