Oui le terme “universel” sous entend “pour ceux qui le souhaitent” ceci étant une liberté, qui comme toute liberté est symétrique entre ceux qui le souhaitent n’en faisant pas encore partie et ceux qui le souhaitent en faisant déjà partie (il faut donc que les deux souhaits concordent).
Ceci, qui plus est, intégrant le terme “univers” dans un espace-temps, où “tous ceux qui le souhaitent” ne concernent absolument pas les êtres humains(t), mais aussi t+dt, t+ev, t+2ev etc… ces êtres humains étant de durée de vie limitée “ev”. Il n’y a ainsi pas de définition sûre et stable de “l’univers de ceux qui le souhaitent” tout à la fois parce que ce souhait symétrique n’est pas éternel pour des personnes données, mais aussi parce que les personnes qui portent ce souhait ne sont pas éternelles non plus.
Tout comme si l’on parle de “l’univers des producteurs de fiacres”, il a eu un début, un développement une fin, à la fois concernant l’objet produit “le fiacre” mais aussi leurs producteurs individuels qui étaient distants dans le temps. Ainsi on comprend parfaitement bien qu’un “univers 4D” (trois dimensions d’espace et une de temps) peut tout aussi bien être un espace fini intégré dans un espace plus grand.
Si l’on considère de la même façon donc “tous ceux qui le souhaitent symétriquement” ainsi que “tous ceux qui ne le souhaitent pas symétriquement ou asymétriquement”, cet univers est plus vaste que uniquement l’univers de “ceux qui le souhaitent symétriquement”.
Par ailleurs un logiciel étant libre, étant utilisable dès lors par des multivers différents de “ceux qui le souhaitent symétriquement”, développant de la même façon une, deux, trois, 100 ou plus monnaies libres différentes, comprenant chacun 100 personnes ou 1000, 10 000, 100 millions de personnes ou plus, alors ce n’est plus “une universalité” mais “des universalités” qui sont possibles.
C’est ainsi que l’homme ayant bien étudié la TRM comprend parfaitement le terme “universalité”, sans lui faire dire ce qu’il ne dit pas.