C’est la solution que j’aimerais retenir, qui va dans le sens de la dernière proposition de kimamila.
Oui, la blockchain n’en a pas besoin. Mais comme dit plus haut, le pseudo est là pour faire le pont entre la technique et l’humain, à travers une donnée fiable (ce qui ne serait pas le cas en off-chain).
Je crains qu’en enlevant le pseudo :
- on augmente le risque d’erreurs/fraudes (avis de @kimamila également) car celui-ci agit comme un CRC humainement très lisible (un pseudo est choisi pour être prononcé par les pairs)
- on déshumanise le processus, car en ayant le pseudo obligatoire celui-ci se retrouve aussi dans la mémoire des utilisateurs, tandis qu’une clé publique y est très vite effacée. A y repenser, c’est peut-être ce que je crains le plus, car faut-il le rappeler : toute la Ğ1 repose sur l’humain. Ce dernier doit y être impliqué sans quoi l’effondrement n’est pas loin.
C’est le rôle du document d’adhésion, qui ne contient pas de pseudo. Et qui sert aussi de déclencheur à la vérification de la distance (calcul très coûteux). L’identité n’est pas utile pour ce cas.