Allez je vous livre la dernière trouvaille de calcul du DU :
DU(t+1) = DU(t) + c² M(t)/N(t)
Je la gardais au chaud celle là, car elle resemble étrangement à pas mal de formules de physique… si on fait quelques analogies. A noter aussi que, sachant que c est “petit” on comprend aussi que c² est “très petit” et que donc la variation du DU est elle-même quelque chose de “petit” (M/N étant “grand”, et c² “très petit”, alors “très petit” fois “grand” = “petit”)…
Sans doute la meilleure formule possible, puisqu’on voit ici immédiatement à l’oeil : “le DU ne baisse jamais, et croît comme une exponentielle si N est stable”. Enfin, “à l’oeil”, disons “à l’oeil du mathématicien”.
Je crois qu’on peut dire sans se tromper : “c’est élégant” !
DUĞ = DU(t+1) = DU(t) + c² M(t)/N(t)