Mathemagique de c, simple politique ou proportion divine?

N n’est pas un nombre, ou une valeur absolue,
N est une série divergeante !
N s’exprime relativement à N-1.
N s’exprime par une relation, pas par un nombre, c’est pour ca qu’on compte en relatif !
la série est un paradigme ideal pour exprimer N parceque qu’on l’ecrit relativement à son etat precedant et non sa valeur absolue.
un paradigme relativiste !

N est un nombre vivant , il vient de quelque part et il va quelque part

N(t+1) = N(t) + x, x>=1

on connais la limite de M = c’est 1 + 2 + 3

cette somme vaut -1/12, une loi des séries définie dans le même espace.

cette série est fondamentale, primordiale, puisqu’on l’obtient à partir d’un seul prédicat.

je l’explique pas mais il est là et je l’observe !

et ce point fait converger à une vitesse ressentis lorsque rapporté à Ev

et ceci pour n’importe qu’elle espèce n’importe quand et dans n’importe quelle unité de mesure.

c’est un point de symétrie de la vie :slight_smile:

si vous observez une symétrie à la demi vie entre 5% et 10% c’est parce qu’il en existe un fondamentale a 6,409%

Le référentiel est discret
l’invarient Ev = 1
l’objet d’observation: la vie
l’axiome N(t+1) = N(t) + x , x>=1

si les calculs sont simple c’est que le référentiel est bien choisie: c’est la vie :slight_smile:

bien que l’espace et le temps nous aide a comprendre, la réponse au pourquoi ne viens ni de l’espace ni du temps, le pourquoi provient de la nature de N. c’est la vie :slight_smile:

Lorsqu’on additionne les morts et les vivants le résultat ne peux pas être trivial :slight_smile:

n’ en déplaise à certains la vie est par opposition à la matière inerte et determinée, celle qui fait des choix, d’ où l’ experience quantique du champ des possibles observable quelque soit l’ échelle depuis le prix nobel de serge haroche

pour en revenir au sujet,

pourquoi insister alors qu’ à 8o ans ça ne converge pas avec o,o3 ? c’ est la demie vie d’ un truc qui marche pas ! change peut etre totalement de référentiel (t) du moins c’est ce que proposerait probablement un rovelli ou un guillemant

Est-ce que comme ca vous la comprenez la dualité quantique de Ramanujan ?
est-ce que là vous le voyez le lien avec la monnaie libre?

pour moi -1/12 c’est l’ infini donc un nombre de morts et de vivant finis ou indéfinis dans le temps ne sont égaux à l’ infini (bis repitita); il faut extraire la notion de temps pour retrouver là une égalité

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Oui mais elle n’a absolument rien de quantique, pas plus que ton culo
Le gars est mort en 1920, soit pile avant la révolution quantique. Domage.

Je vois que regarder des vidéos sur Youtube donne des vocations.

Non absolument pas désolé.

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La somme des mort et des vivant c’est M. La masse monetaire
Parceque M s’exprime en fonction de l’esperance de vie.

La somme de ramanujan c’est l’expression de la question que l’on se pose : c . exprimé en génération hors de lespace et du temps, une valeur absolue… Si ya pas de calcul c’est parce que c’est la meme formule.

Ce que je suis en train de t’expliquer, c’est qui si la symetrie est difficile a trouver, Dans l’espace discret, ramanujan a trouver ,lui une valeur exacte, en repondant a la meme question qui nous est posé, a quelle vitesse on converge entre génération?

Le fait que ce point soit une valeur absolue viens de la.nature discrète du calcul. L’espace discret possede des propriétés, des vérités insolvable en continue. -1/12 est une loie mathématique, une grandeur de la nature. qui lie les generation entre elle.

La formule de ramanujan c’est l’ecriture exacte du probleme + la solution… juste ecrit différemment

Ca devrais te faire plaisir, de trouver des truc non?? mais je crains que tu ne sache pas apprécier l’instant comme je le fait.

Ptet que je manque de patience excuse moi d’être surexcitée je viens juste partager, a qui saura le lire, que la somme de ramanujan c’est l’equivalent discret du point de symetrie spatio temporelles

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Quand on mélange des maths, des analogies avec la physique et la biologie, et des jolies phrases qui peuvent sembler intuitivement évidentes mais qui n’ont pas de sens mathématique, le résultat n’est pas forcément compréhensible par les autres, et pas forcément juste non plus.

Il faudrait être clair à propos des hypothèses non-mathématiques (càd issues de la physique ou autre), qui ne sont pas des théorèmes.

Je n’ai pas compris la réponse à ma critique précédente, donc je reformule :
Si j’ai bien compris, on dit que N(t+1)=N+1 et on en déduit le DU journalier. Cependant pour avoir N(t+1)=N+1 il faut soit (1) supposer que N a effectivement une croissance affine (par exemple il y a en moyenne un nombre constant d’arrivants chaque jour), soit (2) prendre un référentiel de temps distordu.
(1) étant faux en pratique, je suppose qu’on a (2). Alors le DU est calculé selon ce référentiel de temps bizarre, et donc il faut le retransformer pour obtenir le DU journalier. Sinon on a juste le DU entre deux nouveaux membres, et on ne peut pas utiliser t linéairement dans les calculs, puisque (t2-t1) ne serait pas une durée.

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Reprenons depuis le debut,

J’observes c: j’observes un point de symetrie “spatio temporelle” .
si je l’observe c’est qu’il existe. Je peux decider de l’utiliser comme bon me semble mais cette symetrie existe dans la nature, puisque je l’observes !

je cherches c:
qu’est-ce que je recherche vraiment ? le point de symetrie entre “tout les gens”, au fond je men fou du “spatio” et du “temporelle”, ce que je recherche c’est la symétrie. point.

je constate une ressemblance avec c:
sans doute au cours d’une video youtube comme le pointe tres bien poka, je remarque une ressemblance entre l’ecriture de

1 + 2 + 3 +… = -1/12

et M, la masse monetaire de la june.

car M c’est la somme cumulé de N: la masse monetaire de la G1 augmente tout les jours en fonction de l’esperance de vie de N, et de facon discrete

en, 80 ans , on creer 365.25 * 80 DU, la masse monetaire créer en une vie, est proportionelle à une Ev.

qu’est-ce que signifierais M=-1/12 …et puis personne ne m’ecoutera jamais, c’est trop fou

j’ignore c:
La formule est trop brillante, trop intimidante, et je connais trop les humains pour savoir qu’ils n’hesiteront pas a en rire si je me trompes. je perds 2 ans.

Entre temps:
je découvre d’autres vidéos youtube très intéressante sur le jeu de la vie, et surtout LYFE, parce que LYFE me permet de “voir” les prédicats essentiel à la vie, peut etre que d’autre trouverons leur inspiration ailleurs

J’observes a nouveau c, sans le savoir:
avec amusement, je remarque qu’un predicat de la vie permet de retrouver la somme de ramanujan. je comprends alors que cette somme est “primordial”, de premier ordre, fondamental, appelez le comme vous voulez mais ce predicat est atomique :
N(t+1) = N(t) + x, x>=1

et s’il permet de retrouver

1 + 2 + 3 +… = -1/12

c’est que “la croissance implique une symétrie” et c’est mathematique !

Mais je ne fais pas le lien dans ma tete a cette instant, avec la monnaie libre. je souris gaiement et je passe autre chose.

occasionnelement je penses a c:
Je decouvre que ce qui est vrai pour l’homme l’est aussi pour toute population, les symétries ne sont pas les meme (le valeur absolue), mais je me doute bien que c’est le meme phenomene.
Qu’est ce qui est constant entre le DU d’un elfe et le DU d’un humain?

c’est le rapport d’une generation sur l’autre M(t)/M(t+1),

ca c’est le meme pour un elfe , un humain ou une cellule, cette expression est la meme pour toutes les especes. si on exprime le point de symetrie comme un rapport entre generation.

et pas en fonction d’une mesure du temps

on a le meme point de symetrie pour toute les espece
M(t)/M(t+1)
ou
M(t+1)/M(t) comme ca vous arrange

Le declique:
c’est quand j’ai compris que le N de la june est vivant que le puzzle est devenu clair, je m’explique:

N est une serie, pas un nombre
N croit
:
N est un nombre vivant par tout ses aspets, et pour cause, ce qu’on observe EST vivant, parceque les humain sont des vivant.

N est une serie, pas un nombre, parceque nous somme vivant
N croit parceque nous somme vivant

si on se retrouve dans un espace discret, c’est parceque nous somme vivant

Parceque N(t+1) = N(t) + x, avec x>=1

Pourquoi utiliser Ramanujan:
1 + 2 + 3 + … = -1/12

on ne peut pas additionner “simplement” les morts et les vivants,
de la meme facon,
1 pomme a l’instant t que l’on additionne à 1 pomme a t+1, ca fait pas 2 pommes !

Le “paradoxe” que résout l’équation de Ramanujan, est qu’il permet d’additionner les pommes

de la meme façon, tu peux additionner les morts et les vivants

parceque -1/12 c’est le point de symetrie ABSOLUE entre les intervale t de N

et c’est très précisement ce que je veux faire, compter les pommes entre elles !

Je peux le faire si j’ai cette axiome:

N(t+1) = N(t) + x , x>=1

parceque j’ai montré qu’on retrouve la somme de ramanujan

cette axiome c’est la propension à croitre, l’une des proprieté de la vie

Je propose cette axiome parceque je penses que N fait partie du vivant.

Je ne “m’autorises pas” a utiliser Ramanujan apres avoir prouvé que j’ai le droit, je l’utilises parceque je veux compter les pommes et cette équation le permet!

J’ai reconue un pattern par plusieurs observations dans la nature qui semble expliquer pourquoi tu tatonne entre 5% et 10%,
c’est parce qu’il existe un point de symétrie entre les generation de N , -1/12, une valeur absolue, un nombre sans unité en physique, qui s’explique par la nature discrete des choses!

Maintenant t’en fais ce que t’en veux, moi la june j’en fait plus vraiment partie, en tout cas j’en creer pas en ce moment,

Essentiellement parce que je trouves ca lunaire la facon dont cette symétrie est expliqué actuellement. ni le temps ni l’espace n’explique la symetrie de N,
Ramanujan lui, l’expliques!

en tout cas tux je te remercie de poser des vrai questions, c’est un peux la seul raison de ma présence ici :

je sais, et s’il y a des erreurs dans le raisonnement ca viendra probablement de là ! mais ma proposition se veux honnête, je n’essaye pas un tour de passe passe !
a propos des analogie rapide… je crains que je soit fait comme ca, c’est pas intéressant les math sans la beautés de ce qu’elle décrivent, c’est vraiment pas naturelle de l’écrire autrement qu’en poème. Mais j’entends que ca parait pas sérieux, pourtant ça l’est

c’est ca dans l’idée, “chercher à croitre”, c’est tout ce qui est necessaire

N(t+1) = N(t) + x, x=>1 est l’ axiome necessaire pour produire la formule de Ramanujan
je l’utilise essentiellement pour montrer que cette

quand x=1
N(t+1) = N(t) + 1 le cas qui permet de retrouver la somme de Ramanujan

mais c’est aussi la forme de vie que j’observe:
N(t+1) = N(t) + x, x=>1.

je ne cherches pas la limite de la somme, l’équation de Ramanujan c’est pas une limite c’est une égalité !!

et la je suis tout à fait d’accords, formellement ya un trou: le lien entre
N(t+1) = N(t) + x, x=>1.
N(t+1) = N(t) + 1.
n’est pas clair

l’un est inclus, borné, je sais pas… par l’autre, c’est la meme forme et donc j’hériterais de cette propriété !? honnêtement c’est flou pour moi comment on formalise ca. déjà le reste j’aime pas, jai pas fait de physique quantique. mais la nature discrete / quantique je l’ai très bien perçus dans cette fomule !

c’est un point de symétrie absolue entre les intervalles t de N …

le pourquoi jai le droit de l’utiliser, j’en sais rien, si tu trouves tant mieux, je serais vraiment heureux de le comprendre…

ce que j’observes en revanche, si j’utilise ce point de symétrie, j’arrives à additionner les vivants et les morts! et cela pour tout N !

ce point n’existe que dans un espace discret, il n’existe pas en dehors, puisque sont prédicat est de nature discrete. cette valeur n’as aucun sens en non discret, c’est pour ca qu’on tâtonne pour la trouver, elle n’existe pas vraiment!

mais dans un espace discret a un moment ya un arrondi forcé qui se fait entre vrai et faux et qui determine si quelque chose a une propriété de symétrie .

cela est vrai lorsque
N(t-1) = N(t) +1

que je considère être l’une des propriété du vivant et … ce que j’observe semble vivant

donc c’est l’axiome que je propose. la propension à croître de N.

mais dans le fond l’axiome proposé n’a absolument aucune importance car -1/12 est absolue :slight_smile: ,
je l’utilises si j’ai envie que quelque chose soit symétrique,
je ne l’utilise pas parce que ca l’est déjà"!, N(observé) n’est probablement pas symétrique! et il est probablement impossible de le démontrer

tous ca pour vous dire que -1/12 c’est la symétrie de base, premier ordre, la matrice dans la nature de beaucoup de choses, comme par exemple des vivants :slight_smile:

et vous ne devriez pas avoir peur de cette formule, bien au contraire :slight_smile:
puisque c’est la forme exact de c, il suffit de la lire: la somme des morts et des vivants, c’est a dire M !

Le lichen, en poussant l’imagination, ce serait comme du bambouchpignon: un bambou mais symbiotique (symbiose bambou-champignon quasi-obligatoire, allant jusqu’au feuillage et pas seulement les racines), avec un mode de reproduction sexué pour la partie champignon, et une dépendance au champignon pour la germination de la graine (comme les orchidées).

Et une capacité, en plus de s’étendre par les rhizomes (tiges souterraines), les graines mycorhizées (partie végétale) et les spores (partie champignon), aussi par de la poudre fine de cellules végétales et champignon assemblée, et par aussi des micro-branches prévues exprès pour casser :sweat_smile:

Un tel organisme est un drôle d’assemblage, on ne peut plus vraiment dire facilement où est l’individu: est-ce une graine mycorhizée, les branches cassantes ou particules de poudre? Puis après quand ça pousse ça devient une colonie?
Ou ça reste un individu hyper ramifié?

Chez les champignons, les individus peuvent fusionner… ça brouille encore plus la frontière…

Pour compter les bactéries on faisait des dilutions, regardait le trouble du liquide, sinon on comptait les colonies… ça se multiplie très vite, et c’est très petit.
Pour la génétique dont tu parles, j’en ai pas fait assez, mais ce qui est fait c’est comparer les séquences d’ADN des gènes, et donc la distance génétique, et créer des arbres en cherchant l’apparition de mutations à partir d’un ancêtre commun, qui peut aller très loin pour certains gènes, des gènes bactériens. Mais pour l’évolution des espèces il faut prendre des gènes quasiment pas affectés par la sélection naturelle.
Le nombre de générations entre deux séquences d’ADN, délicat, selon le type d’enzyme qui réplique l’ADN il y a un taux d’erreur. Chez nous c’est 3 erreurs en moyenne par division cellulaire, mais c’est plus compliqué que ça, car les mutations qui tombent au mauvais endroit, peuvent faire crever la cellule (ou autre, cancer par exemple).

Je n’ai pas croisé 1/12, mais je n’ai pas assez fait de calculs. Mais je sais que certains biologistes font énormément de calculs.

J’ai cherché c dans un rapport naturel des fractal, je ne l’ai pas trouvé
J’ai cherché c dans les cycles de vie avec Pi, je ne l’ai pas trouvé,
J’ai cherché c dans e, i, …
Je reconnais c dans le rapport fondamentale entre N et t.

et dans ma quête de c, j’ai compris pourquoi, -1/12 est utile en physique

La nature du problème que cherches à résoudre Laborde n’est pas trivial, mais on la tous sentit, la masse M est symétrique…

Ramanujan le prouves!

en additionnant dans l’espace discret

le passé et le present
les morts et les vivants
le DU des morts et le DU des vivants
la pomme a t-1 et la pomme a t

Ramanujan découvre la valeur absolue de symétrie entre N et t

Il nous permet d’additionner le passé avec le present
parce qu’il à découvert, dans l’espace discret, la valeur fondamentale du DU

vous ne trouvez pas ca magnifique d’être démontré par Ramanujan ?

Mais regardez ceci :

pour naviguer entre les contradictions, je dois m’y confronter au cours de ma vie, et je m’excuses si ça déplais à certain, mais je ne le regrette pas car :

la somme cumulé des “confrontations”, n’as t-elle pas, elle aussi, un point de symétrie?

c’est VRAI lorsque “une confrontation” est discrete, positive et non nulle :slight_smile:

sortez votre telescope spatio temporelle et observez a 6,409%, vous ne le verrez pas, et pourtant il est là ! caché dans la nature discrete du monde, l’unité de mesure, de toute les symétries de N avec t