"The Ethereum community, key developers and researchers and others have always recognized scalability as perhaps the single most important key technical challenge that needs to be solved in order for blockchain applications to reach mass adoption. "
Je me demande si ces analyses et problématiques s’appliquent à duniter ou non?
Est-ce que l’indice de “difficulté” qui augmente lorsque qu’un nœud, et qui permettrais à des machines de faible puissante (raspberry pi est souvent utilisé comme exemple) de participer aujourd’hui, sera encore d’actualité quand nous seront “plus loin” dans la chaîne de blocs ou quand il y aura plus de nœuds ?
La scalabilité ethereum est plus complexe que la scalabilité Duniter. Duniter cherche juste à permettre des échanges de monnaies créées par le DU. Ces échanges peuvent être résolus à haut volume grace aux Lightning network. Ce n’est pas le cas d’ethereum qui essaie de répondre à un autre besoin : l’exécution distribuée/répliquée d’applications turing-completes.
Qu’est ce que tu appelle la partie “Lightning” ? Tu as de quoi faire un LN avec les hash time locks, mais rien de spécifique à Lightning non plus il me semble.
Visiblement non… Il y à peu-être quelque chose à revoir au niveau de la gestion de la puissance de calcul et la difficulté personnalisée ! Ceci dit, moi je ne sais pas faire, et il me semble que ce n’est pas non plus une priorité haute…
C’est bien ce que je disais par time locks (relatif et absolut). Mais ce n’est pas spécifique à Lightning, on peut s’en servir pour beaucoup d’autres choses. Ce sont des prérequis pour un LN, mais ils n’en font pas parti, c’est tout
C’est curieux comme raisonnement, parce que pourtant si je retire ces 2 fonctions de Duniter, alors le Lightning Network devient inopérant sur le réseau Ğ1.
J’affirme donc que ces deux fonctions font bien partie de LN.
Il font parti du protocole de la blockchain. Le Lightning Network est une couche supplémentaire qui exploite les scripts pour proposer des channels de paiements. Dans la blockchain il n’y a aucune notion de LN. On pourrait concevoir d’autres solutions de second niveau avec les mêmes opérateurs voir d’autres sans le ratacher au LN.
Ces 2 fonctions font donc partie du protocole de Duniter, et si un jour LN il y a il sera construit par dessus, sans que ça change quoi que ce soit dans la blockchain.
Un exemple d’utilisation des timelocks est un système d’abonnement avec paiement mensuel (qui viendra plus tard avec d’autres condtions qui seront dans un futur RFC). Pourtant ce système n’a rien a voir avec la blockchain et son protocole, ce sont seulement des usages dedit protocole.
Note : Ce n’est qu’une question de definitions et ce n’est pas la peine de s’attarder dessus si nous ne sommes vraiment pas d’accord. Je trouve juste bon de définir des limites claires entre les différents protocoles.