Tiens, moi non plus !
Mes connaissances informaticiennes, mathématiciennes, etc. je rechigne à leur parler du sujet, et quand je me hasarde à le faire, c’est avec peu d’illusions sur la suite qu’ils vont donner à la discussion. Suis-je le seul dans ce cas-là ?
Oui, cela me semble tout à fait prioritaire. De mon point de vue, la Ğ1 a toujours été, avant tout, un outil de communication qui doit permettre d’attirer du monde sur le sujet de la monnaie à dividende universel. Ensuite, la Ğ1 peut prendre de la valeur et son infrastructure être améliorée. Ce faisant, elle peut attirer plus de monde sur le sujet. Etc.
Seulement, nous ne sommes pas fichus de mettre en valeur de ce bel outil de communication.
Par exemple, j’aimerais bien :
- que l’on étudie sérieusement la question “pourquoi sommes-nous vus comme les membres d’une secte ?” et surtout, que faire pour y remédier ?
- savoir si je suis le seul à trouver que cette dénomination “monnaie libre” montre de grosses limites. “Libre”, c’est mis à toutes les sauces, à tel point que ça peut vouloir dire tout et son contraire. Perso, je ne peux plus l’utiliser, elle me sort par les yeux. Si on le garde dans l’espoir de séduire Stallman et les libristes, ça me semble un peu léger.
Quand on y pense, on est censé arriver sur un site dont le sujet est la monnaie à dividende universel, et l’accueil nous parle de Ğ1 (c’est quoi ce truc) et de membre ! Je trouve ça catastrophique comme première impression. Comment en est-on arrivé là ? Principalement à cause de la fatigue ? On en avait marre de voir des demandes de certification, ça, c’est sûr…
Avec du recul, l’accueil devrait :
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avant tout, nous dire succinctement ce qu’est une monnaie à dividende universel (monnaie où chaque individu doit, au cours de sa vie, émettre la même proportion de monnaie que les autres).
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Alors la Ğ1 peut être introduite (c’est la première monnaie à dividende universel).
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Enfin, dire clairement qu’ici, nous ne voulons pas compter sur une entité centralisatrice. La solution adoptée par la Ğ1 peut alors être abordée (co-construction d’une toile de confiance assurant au mieux que chaque identité de la toile de confiance correspond à un individu unique).
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Bien rappeler que la construction de cette toile de confiance est de la responsabilité de chacun (la Ğ1 se veut aussi une preuve de faisabilité de cette co-construction).