C’est un détail, mais dans la formalisation il y a une analogie entre code libre et règles économiques libres.
Par opposition, il est question de “code caché”, et il est dit que les accords de Bâle en sont un exemple, alors qu’ils sont publics.
Je propose de parler de “code propriétaire” au lieu de “caché” pour éviter cette contradiction.
Un avis ? @Galuel ?
2 Likes
Je n’aime pas le terme “propriétaire” qui est ambigu.
Je suis d’accord avec Richard Stallman pour utiliser le terme bien plus précis “privateur”, dans le sens de “privateur de libertés” ou autrement dit “qui prive de liberté”.
La propriété en soi n’est en rien antinomique de la liberté, au contraire même, sans aucune propriété, point de liberté du tout.
3 Likes