Je trouve amusant de me reprocher une analogie ! et hors de propos.
La sérendipité par principe même, et ses exemples multiples, font que la position d’observation exclusive de l’objet d’intérêt et de ce que l’on pense dès le départ être lié au but à atteindre est un frein potentiel à l’innovation, à la découverte et au progrès.
A considérer que ici l’objet observé n’est pas lié au but à atteindre ce qui n’est pas vérifé non plus.
Et je maintiens de façon formelle que le changement de réaction mériterait au moins une explication entre :
et
Faut-il voir dans ce revirement le fait qu’il dément d’autres propos tenus en d’autres temps et d’autres lieux pour sous-tendre un autre raisonnement ?
pourquoi encourager un temps une étude plus approfondie pour ensuite rejeter en bloc et sans courtoisie de nouveaux résultats ?
Observation n’est pas recherche d’un modèle, et l’objet d’observation n’est pas en soi gage de pertinence, la pertinence étant établie sur des prémisces qui en définissent la cohérence ou l’incohérence. Ce n’est que répéter ce que j’ai précisé préalablement.
Manifestement il ne l’est pas, et c’est tout à fait vérifiable. Prétendre que ce n’est pas vérifié ne fait que manifester l’ignorance quant au propos.
Il suffit en effet d’étudier la géométrie euclidienne pour s’assurer que le but qui consisterait à mesurer les dimensions de la fusée se ferait par des instruments de mesures cohérentes avec 1°) le propos qui consiste à mesurer les dimensions et 2°) les prémisces qui sont les axiomes d’Euclide.
Comment s’en assurer !?
C’est une question qu’il est légitime d’approfondir si on recherche le sens en effet.
Qu’en est-il de l’aide alimentaire ?!
On peut fournir le poisson
Mieux : on enseigne la pêche
Mieux encore : on enseigne comment construire canne à pêche et filets
Plus encore : on envisage le phénomène “se nourrir” et on suggère d’y réfléchir, car vouloir absolument vivre de la pêche au sein d’un Oasis en plein désert n’est pas forcément l’approche adéquate.
Cela signifierait-il alors que l’action de fournir le poisson serait incohérente avec la réflexion sur “se nourrir” !? Pourtant cette réflexion peut amener à rejeter l’effort à fournir pour fournir le poisson… Alors donc, y-a-t-il incohérence, ou bien ignorance quant au propos ?
La cohérence ou l’incohérence d’une action de recherche ne peut pas être décrite a priori. Si l’Homme se pose une question, l’approche scientifique l’encourage à y répondre. Même s’il faut faire nager quelqu’un dans du sirop et dans de l’eau pour comparer la vitesse. Seul la retrospection et le temps permettent de faire le tri entre découverte utile et découverte inutile dans un contexte précis et ciblé.
Tu dis avec beaucoup d’assertivité que c’est vérifiable. Mon ignorance et surement mon manque de compréhension de (concept | Ğ1) et de (espace d’établissement | Ğ1) m’empêchent de trouver par moi-même ce qui te permet de le vérifier.
Un peu de compréhension des fonctionnements dépassant parfois la logique de l’humain permettrait à l’expert en éducation à l’accession alimentaire d’éviter de lancer le poisson à la figure de l’affamé ou de lui enseigner en fixant le propos légèrement trop haut pour sa compréhension (là je parle de moi).
Si tu me jettes le poisson à la figure, même si je suis affamé, il est probable que je le renvoie avec agressivité. Je mourrai peut-être de faim, ce sera ma faute, mais je serai mort quand même et l’objectif de l’aide alimentaire n’aura pas été atteint.
Si tout à fait c’est possible, comme je l’ai signalé préalablement, cohérence et incohérence sont des assertions logiques tout à fait démontrables.
Ainsi imaginons le cas où des hommes sont face à une avalanche. L’un d’entre-eux annonce que le phénomène est intéressant et il se propose d’effectuer une action de recherche sur les avalanches, comment elles se déclenchent, comment elles se comportent, comment on peut les prédire, s’en prémunier etc… Réflexion ô combien intéressantes, réalisée par “l’Homme ‘qui’ se pose une question” et avec une “'approche scientifique ‘qui’ l’encourage à y répondre”.
Dans cet espace, passé 30 minutes, et alors que tous les hommes sauf lui ont quitté le bas de la montagne, le chercheur désormais englouti par l’avalanche n’a non seulement pas pu aller très loin dans la “recherche encouragée par la science” mais y a perdu la vie. Ce qui dans l’espace où il est considéré que la vie est précieuse, s’avère être une étude au final parfaitement incohérente avec le propos.
De sorte que l’homme ayant véritablement réalisé la TRM, ayant intégré la durée de vie limitée, ayant réalisé véritablement la nature d’une monnaie libre, ayant accepté et mettant en pratique les 4 libertés économiques, ne reste pas en recherche devant les avalanches, il quitte rapidement le bas de la montagne pour s’établir dans l’espace choisi.
C’est possible oui. Mais avec étude, pratique, et patience, c’est parfaitement réalisable. Ce qui constitue une réalisation bien supérieure à l’acceptation d’une explication qu’on aurait pas menée soi-même.
Légèrement trop haut, c’est exactement à la bonne hauteur. Alors que incommensurablement trop haut serait en effet excessif et sans résultat.
Celui qui arrive à une telle réflexion est parfaitement en mesure de réaliser le résultat souhaité par lui-même, il n’a pas besoin de beaucoup d’éléments pour réaliser le tout pleinement et sans erreur.
Ce qui pourrait le freiner c’est uniquement un désir ou une envie de réalisation immédiate, alors que seul le temps associé aux causes et conditions nécessaires fait que pousse la graine, puis l’arbre, les branches, pourqu’enfin se manifeste le fruit.
Souhaitons aussi bien que le lecteur trouvera là éléments de réflexions et d’inspirations qui soient là encore propices aux causes et conditions menant à une telle réalisation. De sorte que comme dit la maxime célèbre : l’oiseau a besoin de ses deux ailes pour voler.
Faux !
La décision peut paraître irrationnelle. Il appartient à cet homme de la prendre. Dire que ça n’aura servi à rien, c’est présenter une issue possible, possiblement la plus probable.
Mais même les choses les plus improbables peuvent se réaliser.
Le voyageur de commerce, s’il utilise la méthode d’aller toujours à la ville non visitée la plus proche, empruntera dans beaucoup de situations un chemin non optimal.
S’il dispose de tous les éléments, il peut calculer son chemin optimal c’est une situation simple. S’il ne connaît pas toutes les positions, on entre dans une situation complexe et il doit agir par empirisme, alors il peut décider d’aller à chaque instant aux villes qu’il sait les plus proches (ce que lui objective la logique). Il peut aussi essayer d’avoir une marche aléatoire. Son espérance n’est pas meilleure dans un cas ou dans l’autre. Mais il saura si son choix a été utile ou inutile uniquement une fois le chemin réalisé.
Je maintiens donc qu’il est trop tôt pour dire qu’observer la croissance microscopique de la toile à ses débuts est inutile.
Sur ce je suis las et je pense que nous ennuyons nos camarades, je vais donc lire avec attention ta réponse et même si elle me fait dire ce que je n’ai pas dit ou s’attache à un fait annexe du propos, je passerai je pense mon tour pour y répondre.
Là encore le sujet n’est absolument pas compris, il ne s’agit aucunement de prendre ou pas une décision. Quand on ne comprend pas un propos il vaut mieux réfléchir que réagir.
Il n’est nulle part écrit que “ça n’aura servi à rien”. Il n’était en rien question ici non plus de “servir à quelque chose” ou “ne pas servir à quelque chose”.
Je peux tout à fait affirmer que dans le triangle rectangle (a,b,c) > 0 on a c² = a³ + b³, de manière tout à fait vraie et cohérente (démontrable, sans aucune sorte d’erreur), et ceci n’a rien à voir avec :
une décision rationnelle
une décision irrationnelle
servir à quelque chose
servir à rien
Mais si je dis : on a : c² = a³ + b³ ET c² = a² + b², je ne ferais que démontrer que je ne sais pas ce que signifie une démonstration.
Si je dis “je peux décider l’un ou l’autre”, je ne ferais que démontrer mon indécision quant au chemin que je prends.
Si je dis : seule l’observation me paraîtra digne de probabilité ou d’improbabilité, je ne fais que démontrer ma prodonde incompréhension de la signification du choix d’une mesure.
Si je dis : “il est trop tôt pour savoir”, je ne fais que manifester mon incapacité à décider.
Si je dis : j’ai choisi l’espace démonstratif où c² = a² + b², j’affirme donc que c² = a³ + b³ est faux, je démontre ma capacité de choix, ma compréhension de la nature d’une mesure, et le choix du chemin que j’ai décidé de suivre.
Il s’ensuit que celui qui reste attaché à la relativité est plus incurable encore que celui qui ne l’a pas réalisée.
Merci pour ce commentaire. Comme le dit @Galuel, ce n’est qu’un modèle, certainement faux, tout comme le modèle exponentiel. Je donne ici un instantané sans prétention (note l’usage du conditionnel dans mes phrases). Quant au modèle asymptotique, on n’en voit encore aucun prémisse, il est bien trop tôt.
Merci, mais la blockchain forke pas mal en ce moment et je ne le vois pas:slight_smile:.
Je ne cherche pas à établir des prédictions. Je l’ai déjà dit : je ne suis pas devin. Je cherche juste à imager les données que je trouve pour aider à leur compréhension.
Il y a six mois la monnaie libre Ğ1 naissait, ainsi que sa toile de confiance, avec 59 membres. Depuis cette toile a bien grandi. Le 22 juin dernier, je proposais un modèle linéaire en deux phases, correspondant aux valeurs observées.
Aujourd’hui, ce modèle, surprenant à l’époque, ne tient plus (t est le temps et N le nombre de participants) :
Un modéle exponentiel, au moins dans la deuxième phase après une première partie linéaire, est beaucoup mieux vérifié, et beaucoup plus logique théoriquement à un moment où la règle de distance ne se fait pas encore sentir :
Le taux de croissance est fort (11,0+/-0,7 % par mois), si on le compare au taux de croissance c de la monnaie.
@gerard94 il faudrait préciser que N désigne de nombre de membre, tes travaux ont été partagés sur plusieurs réseaux sociaux et ont me remonte que l’unité de l’axe des ordonnées n’est pas définie !