oké jvais répondre à ces infamies car cinquante commentaires ne suffisant pas, rentrons dans le dur de l’ ignorance grasse qui pourrit la société et nous emmène au grand reset, en effet, la monnaie libre résoult celà par le biais de l’ éthique et la morale ainsi qu’ elle nous met en garde contre l’ échange avec non pas des valeurs comme l’ or ou l’ argent mais bien contre des unités de mesures non libre DES MONNAIES NON LIBRE , n’ ayant d’ autre valeur que le procédé de création monétaire qui n’ a rien d’ artisanal ni de materiel. une création de chiffre sur des bouts de bois, de papier puis des tableurs compatables chronologiquement il devrait même y avoir des chaines de blocs de monnaie centrale aussi mais ce ne sont pas des valeurs, ce sont des représentations immaterielles de valeur, des monnaie au sens que la trm définie en excluant les materiaux qui ne se réduisent pas à la mesure, ils ont une valeur materielle intrinseque et ne sastifont pas les termes de la définition d’ une monnaie, c’est un abus de langage pour les auteurs comme nous pouvons le lire, les matériaux s’ apparente à du troc plutot qu’ à de la monnaie trm.creationmonetaire.info
il ne faut pas non plus faire dire ce qui n’ a pas été dit pour rallonger aveuglemment le débat ici et faire passer tout opinion des utilisateurs pour des néophytes ayant besoin de discuter de leurs peurs sans parcimonie. ceux qui ont lu et apprécié la trm n’ ont pas besoin de ma réponse là et ont compris le propos depuis le début. c’est donc un acte didactique non nécessaire du dimanche que de ressortir les passages que nul n’ ignore à priori.
nous trouverons par exemple en introduction la notion d’ équité : Le sujet de ce livre est donc non pas de définir le système monétaire tel qu’il existe, mais de définir ce que devrait être une monnaie équitable dans l’espace-temps, et que j’appelle aussi « monnaie relative » en ce qu’elle ne peut se définir que relativement à tout repère de mesure indépendant : celui lié à tout individu citoyen de la zone économique concernée.
Je souhaite que la théorie relative de la monnaie permette d’aider à établir une économie la plus équitable possible, et qui soit bénéfique à l’ensemble de ses acteurs présents et à venir.
puis dans la définition les droits de l’ homme On peut sans hésiter déclarer que l’imposition d’usage d’une monnaie non contractuelle (ne faisant pas l’objet d’une acceptation volontaire) constitue un acte contraire aux droits de l’Homme de disposer de sa vie pour sa part économique et une violation des principes constitutionnels de liberté et d’égalité.
l’absence de liberté dans l’ économie dans le chapitre formalisation On ne peut pas non plus établir un ensemble théorique cohérent sans préciser les libertés fondamentales auxquels il se réfère. Ces libertés sont absentes des théories classiques pour la mauvaise raison qu’elles les ignorent.
et la clause dite lokéenne dans le même chapitre « Lorsque quelqu’un s’approprie un objet, il doit en rester suffisamment et en qualité aussi bonne en commun pour les autres »
le rapport avec les logiciels libre toujours dans formalisation, une éthique en soi dont les fruits sont l’ espoir d’ une moralité de justice en droit depuis cinquante ans Un code libre tel que défini dans le monde logiciel (« free software ») consiste en un code de programme informatique ouvert, et modifiable par ses utilisateurs. Ce principe de « liberté du code » est fondamentalement compatible avec le principe de Relativité, parce que si les Lois sont indépendantes du référentiel, c’est bien qu’elles ne sont ni cachées, ni inaccessibles via l’expérimentation où que l’on se trouve.
une référence parmi d’ autres à la modification démocratique dans les deux, monnaie, logiciel Or la monnaie est actuellement un code propriétaire caché, dans le sens où la monnaie est contrôlée par des règles non modifiables démocratiquement
je me rend compte au passage du délire dont la sasie pemret d’ admettre un systeme social sans moral ou éthique ? ça serait une société IA ? les humains ne font rien d’ autre de leur vie que de la morale et de l’ éthique dans autant de formes qu possible et imaginable.
la seule approche un tant soit peu délicate à appréhender c’est la différence fondamentale entre une valeur économique et une unité de mesure de valeur qu’ est un monnaie vraie (nonfausse); le reste est tout à fait audible humainemment sans effort pour quiconque souhaite vivre une meilleure entente dans le droit équitable qui se nomme la morale. le tout étant de ne pas dériver dans des thèse pseudo-scientifique càd irréfutables selon popper (mais ça c’est pas la trm en gras)
concernant la monnaie dette dans le chapitre ‘‘problème de la monnaie dette’’ Toutefois, le système de « l’argent-dette » bien qu’étant un pas en avant par rapport à un système à valeur de référence, reste biaisé par l’octroi de crédits centralisés sur des volumes et des valeurs arbitraires au détriment d’une large part de la population présente et à venir.
En conclusion l’argent « dette » est un système instituant une asymétrie profonde de la création monétaire, qui n’est contractuellement pas acceptable au sein des démocraties respectueuses des droits de l’homme. Logiquement la reconnaissance de l’égalité du jugement de toute valeur économique, implique la symétrie devant les règles de création d’une monnaie qui soit véritablement commune (ce qui ne signifie pas l’égalité devant les biens possédés, ni devant la monnaie accumulée suite aux échanges).Il convient ici de comprendre la distinction qu’il y a entre la création monétaire par une « dette » envers un centre arbitraire, c’est-à-dire le fait que certains acteurs spatialement ou temporellement situés aient le privilège exclusif d’émettre la monnaie, créant une asymétrie par rapport aux autres acteurs de l’économie présents et futurs et la dette que l’on contracte envers un détenteur de monnaie pré-existante. C’est bien le premier point qui est ici dénoncé.
** Les systèmes monétaires compatibles avec le principe de relativité et les trois libertés économiques sont les systèmes monétaires à dividende universel dont la valeur est une proportion « c » de la masse monétaire qui dépend de l’espérance de vie moyenne de la zone monétaire considérée
« Les systèmes monétaires qui n’intègrent pas un dividende universel ne sont pas compatibles avec le principe de relativité et les trois libertés économiques »
Ce dernier point est fondamental car la tentation est grande pour les vivants de s’arroger des droits de propriété excessifs sur l’espace de vie, violant ainsi les libertés de leurs successeurs. L’histoire est pleine de ces violations des principes fondamentaux, qui conduisent inévitablement à des insurrections à terme.